« La fête pour les nuls » Vigousse

Le journal Vigousse a relayé la sortie du plaidoyer pour une vie nocturne riche, vivante et diversifiée à sa manière:

« A lire ledit document, on comprend en effet qu’il y a du souci à se faire pour la jeunesse. Si autrefois, les ados parlaient de « night » (night de folie, éventuellement), ils parlent aujourd’hui de « vécu potentiel durant une tranche horaire, soit l’ensemble des activités sociales, culturelles et économiques du noctambule ». […] Si autrefois on espérait pécho machin ou machine, le jeune réclame aujourd’hui « des expériences décloisonnées du monde des adultes ». »

Et effectivement, le Collectif nocturne déplore lui aussi le fait qu’il faille maîtriser sur le bout des doigts tout un jargon politique et juridique afin d’être crédible aux yeux des autorités. Que ce soit pour défendre une certaine vision de la vie nocturne ou pour toute autre revendication. C’est selon nous un réel problème que ce soit aux citoyens de s’adapter au langage des politiques, et non le contraire.